Eau : on trouve
facilement des fontaines ou autre source d’eau potable en Arménie.
Personnellement, on a toujours bu cette eau sans traitement préalable
(filtre/chlore). Il y a naturellement de l’eau en bouteille dans les villes,
mais elle se fait plus rare dans les régions montagneuses.
Police : Si
quelques voitures nous ont doublés sur les routes arméniennes, aucun réel
contact avec la police locale.
Camping sauvage
: Le camping sauvage est apparemment autorisé en Arménie. Si le sud (montagnes)
s’y prête vraiment bien, le reste du pays n’est pas mal non plus. Ne cherchez
pas de camping officiel, il n’y en a pas ! Il existe sur les rives sud du lac
Sevan de très jolis spots. Attention, de faux gardes-faune vous feront
peut-être croire qu’il faut payer pour camper. Demandez une quittance, ça les
fera « décamper » !
Nourriture : Bon
marché, la nourriture se trouve facilement dans les villes et villages. Une
grande quantité d’échoppes vous propose : fromages, lavache, fruits, produits
laitier, biscuit, miel, « viande », … Surtout ne pas louper le poulet Ararat !
Très bon, malgré son apparence orange fluo. Mais attention, beaucoup de
produits vendus sont périmés ! Si certains vendeurs ne vous les vendront à
aucun prix, d’autres sont… disons, moins regardants.
Visa : déjà dans
géorgie.
Vélo : Ne
comptez pas sur des magasins de vélo pour vous dépanner. On en a trouvé qu’un
sur notre route, à Vanadzor. Et c’est plus un magasin de sport avec deux trois
pièces de vélo qu’autre chose. Si le patron est super, son matos l’est un peu
moins. On a acheté deux chambres à aire qui ont explosé lorsqu’on les a
gonflées pour la 1ère fois et un pneu de qualité plus que douteuse (moins de
2000 km de durée de vie).
Argent : Si
l’Iran est votre prochaine destination, il vous faut faire le plein en Arménie.
Et c’est loin d’être facile. Sachez que toutes les banques que nous avons
visitées ne délivre du cash que par le
biais de leur bancomat. Ces derniers ne fournissent que des devises locales et
uniquement l’équivalent de 200 CHF par retrait. Nombre de retrait limité par
jour. Carte Visa nettement préférée aux
autres. Pour les détenteurs d’une Maestro, il y a le Crédit Agricole de Dilijan
(succursale française) qui autorise des retraits consécutifs, sans limite. A ce
stade, il vous reste plus qu’a changer votre argent en dollar. Cette démarche
peut prendre un peu de temps vu que le directeur de la banque doit descendre au
coffre… évidement, ce n’est pas tous les jours qu’ils vendent plusieurs
centaines de dollars ! Voilà, vous êtes devenu une vraie mine d’or à deux roues
!
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